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  René Crevel :

  - Mais laissons-là la mère et relatons les garçons, "les poupes" comme il m'amusait de les appeler. Ah! Les garçons Tota... Il y aurait tant à écrire ! Ils furent pour moi une source intarissable de plaisir... Plaisir, désir, séduire, conquérir, assouvir, jouir... Les garçons, sans rougir...
  "Pourtant, cette nuit, sans le risque de te blesser toi qui toujours fus au courant de ma fébrile fringale de chairs palpitantes, mes pensées ne vont que vers UN SEUL, obsédant, magnifique, comme au premier jour : Eugene... Ma fierté d'homme. Mon orgueil illuminé...

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