Comédiens
Ariel ZINGLER : la cinquantaine ; très cyclothymique, il peut être pétulant et volubile, apathique et triste, rêveur et autistique. On ne sait jamais s'il soliloque, parle à des êtres invisibles ou aux personnes en sa présence. On ne sait jamais s'il cite des textes littéraires ou si les mots viennent de lui...
Brigitte DUGLOUIN : la cinquantaine, elle est tellement exubérante qu'elle donne l'impression d'être folle à lier ; en d'autres temps et lieux, on l'eut peut-être appelée sorcière. Mais sa folie n'est qu'apparence car derrière l'artifice coloré des mots qu'elle fait jongler avec talent, elle laisse transparaître une belle sensibilité et une grande intelligence.
Abdel BENJOUD : la trentaine, il est fougueux, violent, hypersensible. Il parle sans détour, dans une langue efficace qui tranche avec la langue littéraire des deux autres personnages.
Décor
Intérieur modeste,
en désordre, avec de nombreux livres, unique lieu où
se déroulent les trois actes.
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