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  Le journaliste rebrousse chemin au pas de course. Il s'apprête à faire une photo mais trop tard ! Albert est déjà en train de courir... Culot met alors le contact de sa vieille voiture qui finit par démarrer.
  Il suit des yeux Peretten tout en prenant des photos. Le glaciologue profite d'une occasion inattendue de prendre la fuite : un ambulancier vient de quitter son ambulance avec un malade. Ainsi qu'Albert l'avait observé, il a laissé les clés sur le contact. En quelques secondes, Albert roule vers la sortie au volant de l'ambulance: il ne parvient pas à éteindre le gyrophare et la sirène, ce qui lui procure un avantage immédiat : dégager son chemin.! Derrière, Culot a du mal à suivre...

  A l'autre bout de la ville, Albert abandonne l'ambulance et s'engouffre dans un taxi avec lequel il parlemente longuement, sans savoir qu'à cent mètres de là, Culot s'impatiente en tapotant sur son volant.
  Le marché est finalement conclu et le taxi démarre, au grand ravissement de Culot qui se frotte les mains avant de passer la première.
  Ils arrivent à la frontière italienne. Là, Culot s'arrête furieux. Il ne veut pas prendre le risque de quitter le territoire sans être couvert par son chef. C'est la nuit et il est trop tard pour téléphoner au bureau. Il décide de rentrer sur Grenoble en maudissant "cet Albert Peretten, l'Indiana Jones des glaces !".

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