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Albert MICHEL



Albert Michel, Pollitz, 1941.

Né le 21.08.1916 à Schaerbeek, Bruxelles (Belgique)
 Mort le 06.10.1979 à Liège (Belgique)

Prisonnier de guerre 70967



Page en cours d'élaboration
(01.04.2025)



Eléments biographiques

Photos

Dessins & oeuvres graphiques
Total de 73 photos.

Toutes les oeuvres présentées dans ces pages sont d'Albert MICHEL
sauf deux aquarelles d'Henri HABSCH.

Portraits - Vues du stalag

Oeuvres graphiques

Vues du stalag : bâtiments extérieurs et intérieurs
Total de 26 photos.


Vues extérieures


Dessins non datés



Sans date. Le bâtiment de la cantine.





Sans date. En arrière plan, on peut voir la palissade qui clôt le camp,
au centre une guérite, et à gauche un bâtiment non identifié.






Sans date. La Sportplatz. Goal. La flèche qui pointe sur goal part de la cage de buts.
Le dessinateur ne manque pas de rappeler la palissade du camp qui barre le paysage.






Sans date. Basket-land. Le dessinateur a délimité le terrain par des traits qui pointe sur le mot.
Toujours la palissade...






Sans date. Le Revier (infirmerie).


Dessins datés




Sans date (1941). Coin du logement à Politz.




Mai 1941. Rentré du Kommando agricole de Politz, Albert MICHEL a produit un dessin insolite en juxtaposant deux vues :
en haut, depuis une terrasse avec un auvent, le dessin de deux baraquements non identifiés
et en bas celui du Revier (infirmerie).





Mai 1942. Fontaine.
La fontaine se trouve devant un bâtiment non identifié, tout comme le bâtiment au fond à droite.





10 mai 1942. Environs du camp.
Albert MICHEL avait-il pu sortir du stalag ?
Où est-ce de mémoire ou à travers la palissade qu'il a croqué cette jolie maison entourée d'arbres ?





Juin 1942. Revier 15. Complète sous un autre angle le dessin du même bâtiment ci-dessus.
Au premier plan à gauche, un bâtiment non identifié et devant, peut-être la fontaine.
Jouxtant le Revier, le bâtiment est sans doute une annexe de l'infirmerie :
une des priorités sanitaires était d'isoler les malades contagieux (tuberculose, typhus...).
Au fond, à l'extrême droite, un bâtiment non identifié.




Janvier 1943. Un autre angle de vue du Revier.






Février 1943. Vue du couloir [sur le] Revier.
Les petites dentelures en haut du cliché et les coins arrondis en bas
donnent une idée du support sur lequel travaillait alors Albert MICHEL, un carnet à petites spirales.





Février 1943. Contre-jour !?
La sentinelle semble être sous le soleil d'où peut-être ce titre ironique.
Le dessin est extrait d'un même carnet.





Février 1943. Différents bâtiments parmi lesquels celui qui abrite le K. D. F.
(rappel : Kraft durch Freude, K.D.F. : traduct. "La force par la joie", est un organisme nazi créé en 1943).






Février 1943. Bâtiments non identifiés. le dessinateur a porté un mot indéchiffrable au centre du dessin (lumière ? limité ?).







Février 1943. Altengrabow ! Altengrabow ! morne plaine ! Vue sur les baraquements. Au fond, les palissades.
La légende portée par Albert MICHEL sur son dessin traduit la lassitude du dessinateur après trois ans d'enfermement.






Septembre 1944. Lavoir. Vue sur les baraquements depuis le lavoir où sèchent des vêtements.
Dessin possiblement réalisé avant le transfèrement d'Albert MICHEL à Gross Lübars pour indiscipline.







Septembre 1944. Le sinistre camp disciplinaire de Gross Lübars où les fortes têtes du Stalag XI A étaient transférées.




Vues intérieures
 
(elles sont toutes datées sauf une)






Avril 1942. Coin de l'atelier. Coin de Baptiste.
On peut être étonné de voir le matériel dont disposait les prisonniers artistes peintres.
En fait, le matériel et les fournitures étaient apportés par la Croix-Rouge.
Il était important pour les autorités allemandes, à la communication efficace,
de diffuser une bonne image des conditions de détention des prisonniers de guerre.




Avril 1942. Coin de l'atelier. Coin de "Binard".
La table avec triangle, dessin d'architecture et pipe pourraient être ceux d'Albert MICHEL !





Mai 1942. Coin de l'atelier.




Février 1943. Le coin couchage d'un baraquement.





Sans date. Les "Krätze" (la gale).
Le coin couchage d'un baraquement.
De nombreux récits de prisonniers font état des parasites (poux, gale)
qu'ils ont eu à combattre tout le temps de leur emprisonnement.




10 juillet 1943. Le coin couchage d'un baraquement.





10 juillet 1943. Coin couchage d'un baraquement.





Février 1943. Chambre à coucher, cuisine. Krätze.
Vue d'un coin de baraquement.
La locution hôtelière "chambre à coucher" est sans doute ironique.



Oeuvres graphiques



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(Message à P. Pognant)